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La fin du financement des études ou de l’installation dans la vie active des enfants
De nombreux parents citent le financement des études de leurs enfants parmi les principales motivations d’épargne. C’est souvent un objectif prioritaire qui passe avant la préparation de leur retraite. Le coût des études devient, en effet, de plus en plus onéreux en raison des frais de scolarité et de logement, en augmentation régulière, et la réalisation de séjours, souvent longs et onéreux, à l’étranger.
En France, le budget global consacré par les familles françaises aux études supérieures s’élève de 6 000 euros à plus de 10 000 euros, en moyenne, par an et par enfant. Un montant qui inclut toutes les dépenses (frais de scolarité, de logement, d’alimentation, de transport, etc.).
Comme l’arrivée à échéance d’un prêt immobilier, la fin des études supérieures de l’enfant, parfois associée à son indépendance financière, libèrent ainsi pour les parents une enveloppe budgétaire de plusieurs centaines d’euros tous les mois qui peut : soit être affectée, et donc consommée, dans d’autres types de dépenses, mais qui peut aussi être épargnée en vue de la retraite dans un objectif de constitution de revenus complémentaires pour la retraite.
Là encore, le montant de cette enveloppe disponible à consacrer va dépendre à la fois des objectifs de revenus complémentaires souhaités, mais aussi du nombre d’années séparant l’épargnant de l’âge de la retraite.